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J’arrête de me faire bouffer par mes émotions.

“J’arrête de me faire bouffer par mes émotions.”

Voilà tu peux l’annoncer haut et fort !

Tes émotions, tu les gères mal

A chaque fois, c’est la même chose :

Quand tout va bien, tu as cette impression de bien les gérer.

Et puis, dès que la moutarde te monte au nez … le désastre.

Une personne te dit qu’elle n’est pas d’accord avec toi …

Et te voilà à douter de toi, de tes capacités.

Et tes émotions s’emballent, tu paniques.

Alors depuis tout ce temps, tu as décidé de ne plus en avoir … d’émotions !

Tu as fabriqué une barrière, telle le blockaus autour de la centrale de Tchernobyl …

Avec l’espoir que ça dure … comme ça … pour toujours.

Et tu le sais pourtant qu’il y a des failles …. que le ciment est en fait poreux …

Poreux à ta fatigue, à plein de moments …. d’événements …

Et vu que tu as tout contenu durant tout ce temps, ça explose !

Comme un volcan qui crée un bouchon.

Ce bouchon explose à un moment. Et c’est vraiment pas agréable !

Ni pour toi, ni pour les autres !

==> Alors c’est décidé, tu arrêtes pour 2023, et même dès maintenant, de te faire bouffer par tes émotions.

Tu vas prendre toutes les VRAIES bonnes résolutions pour y arriver …

Pas à pas

Petite étape après l’autre

Et tu vas apprendre à voir tes émotions non pas comme des hyènes

Non, elles sont tes amies, comme des gardiennes de ton être, de ton TOI !

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Plaidoyer de la différence.

Oser parler à son/sa manager. Lui révéler la vérité !

Plaidoyer de la différence.

Explique-lui que oui c’est normal d’exprimer sa joie quand on est heureux-se !

Démontre-lui que la colère elle aussi est belle, et on ne doit pas l’interdire !

Appuie bien sur le fait que pleurer quand on ressent des émotions est tout à fait juste.

Et que oui, quand tu es triste tu pleures vraiment

Quand tu ressens de la joie, ce n’est pas juste à l’intérieur, tu as envie de l’exprimer.

Ou tout l’inverse, quand tu ressens une émotion, tu as besoin de t’isoler.

Et ce n’est pas parce que tu fais “la gueule”.

Dis lui que les bruits, les sons étranges, ça te dérange.

Que tu captes tout ça vite très vite, et que ça peut sur-stimuler ton esprit.

Parle-lui que tu peux vite t’épuiser,

Et tes batteries émotionnelles, sociales ne sont pas celles que l’on connait habituellement.

Il est temps d’en finir à se cacher de qui ont est !

Il est temps de se révéler, d’oser le faire.

Oser le faire … dans une entreprise qui va accueillir cette révélation

Oser le faire… dans une entreprise qui est déjà prête à le faire.

Et les autres ? Quid des autres entreprises ?

Chaque pas est un pas de plus vers l’inclusion. Ton inclusion.

Oui tu es différent-e (ou bien tu te sens comme ça)

Et ?

C’est chouette non ?

Arrête de vouloir contrôler tes émotions !

Arrête de vouloir contrôler tes émotions !

Contrôler c’est dominer, maitriser.

Tu cherches donc à vouloir avoir la suprématie sur tes émotions.
C’est une guerre ?
Où d’un côté on a les émotions, et de l’autre côté toi ..

Souvent, j’entends des personnes qui disent : je me suis hors de moi, j’ai perdu le contrôle.
Ou bien : ah non faut pas que je pleure hein sinon ..
Sinon quoi ?

Tes émotions ne sont pas un danger, un aveu de faiblesse, une ennemie.
Elles sont là, avec toi.
Et oui, par moment elles nous conduisent à faire des choses qu’on ne voudrait pas.

Mais, en fait, on se trompe de responsable !
Le-la responsable … c’est toi !

Bon, pas que toi, hein .. il y a tout une culture de l’émotion-taboo qui nous entoure.
“Tu te mets pas en colère”
“Non, un garçon fort comme toi, ça ne pleure pas”
“Calme toi, soit pas trop excité comme ça”
“Oh c’est qu’une petite araignée …”

Tu vois ce dont je parle ?
Minimiser pour faire taire les émotions.
On a peur que nos émotions nous bouffent.
Alors plutôt que nous faire bouffer, on va bouffer nos émotions, ou les bannir.

Et si le moment de la paix était arrivé ?
Déposer les armes ?

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Dis non, non tout le temps !

Dis non, non tout le temps !

Entraine-toi à dire à chaque demande qu’on te fait.

Un peu fou non ?

Ton chef te demande de faire un travail, tu lui réponds non, je ne ferai pas.

Une des personnes de ton équipe te demande de l’aide, tu réponds par la négative.

Et continue toute la journée.

Comment vont-ils réagir à ton avis ?

Recevoir un non alors qu’on a fait une demande peut amener plusieurs réactions.

– On peut ressentir de la colère

– Vivre un moment de frustration

– Ne pas sentir écouté-e

– Se sentir rejeté-e

– …

Comment réagir de manière constructive face à un non que l’on reçoit ?

Un non ne veut pas dire “je ne t’aime pas, je ne te reconnaît pas”, il est là pour exprimer un point, une décision, une non-envie.

(Les notions de consentement pourraient être discutées ici, mais ce n’est pas le sujet de ce post)

Ce jeu de répondre par la négative toute une journée, je l’ai déjà testé voilà quelques années.

Assurément, ce n’était pas simple ni pour moi, ni pour les autres qui recevaient constamment mon non.

Ce que j’ai appris sur cette journée (et à chaque fois que je réponds par la négative), c’est trois points :

– Un non est à respecter, il indique donc que ce que l’on demande n’est pas ce que veut la personne en face de nous.

– Un non c’est une opportunité. L’attitude face à un non c’est de comprendre ce non, et d’en apprendre plus, donc d’engager la conversation.

Non pas pour diminuer l’effet du non. Non, plutôt d’écouter, et d’apprendre, de questionner.

– Le non n’est pas obligé d’être brutal. Un non ne doit pas amener de justification. Cependant, on peut amener un peu de rondeur.

J’ai peur, moi manager !

Tiens parlons de la peur pour toi, manager.

C’est un sujet qui n’est pas souvent mis en avant, tu ne trouve pas ?!

Nous en avions déjà parlé voilà quelques semaines, la peur, c’est pas un sujet dont on parle en entreprise.

Et pourtant ! Chaque jour, la peur fait partie de tes journées de manager.

Peur de faire une erreur, peur de ne pas être écouté-e, peut qu’une de tes équipes ne fassent pas le travail demandé, peur de la réaction de ta direction, peur ….

Tellement de peurs, et tellement de moments où elles sont … oubliées, mises de côté, cachées, refoulées …

Et si on en parlait ?

Et si tu les exprimais ?

Non pas en hurlant !

Comment parler de ses peurs ?

Si si, un manager peut parler de ses peurs, sans parler faible …

Une peur exprime un besoin, une envie.

Avant d’en parler, et si tu te posais et tu listais les peurs que tu as, là maintenant. Listant au moins 5.

Ne réfléchis pas trop, jsute celles qui viennent, là tout de suite.

Et pour chaque peur, à côté, le besoin, l’envie.

Grâce à chaque envie, chaque besoin, tu vas pouvoir en parler de ce qui est bien pour toi.

Un exemple ?

1. J’ai peur que l’équipe n’arrive pas à finir à temps.
2. J’ai besoin d’être rassuré, que tout aille bien dans les délais impartis.

Et maintenant, quelle(s) stratégie(s), je peux appliquer pour être rassuré ?

Liberté et intimité

Tu sais ce que j’aime le plus quand je suis en coaching dans la nature avec le client, la cliente que j’accompagne ?

Le sentiment double intimité / liberté.

Oui, ça paraît presque paradoxal je trouve.

Déjà cette liberté, liberté de suivre la personne que j’accompagne où elle veut.

Un coup on s’arrête, un coup on avance.

Et puis cette liberté de saisir tout ce qui nous entoure comme matière pour l’objectif de séance. Un régal ! Et puis, nous avons cette intimité.

C’est cette impression de ne faire qu’un avec la nature.

Être avec elle pour être ensemble dans la séance de coaching. Et une séance de coaching, dans un petit chemin bien vert, ou au bord de l’eau, souvent on ne trouve pas grand monde !

Là c’est un pur plaisir ! Se sentir présent, là, maintenant avec le client, la cliente.

Et les séances sont embellies de cette double sensation !

Ca te dit d’essayer ? 🙂